Kurioscape, c’est… un décor réussi
Vous me direz certainement que je ne suis pas objective. Je suis là pour réaliser le portrait du gérant. Je vais écrire seulement du positif. Vous n’aurez pas tout à fait tort. Pourtant, les commentaires sont sincères.
Lorsque je passe la porte d’entrée, j’oublie tout de suite l’extérieur, le parking du centre commercial. Lorsque je passe la porte d’entrée, je suis immédiatement immergée dans un décor de film, dans les détails que j’aurais imaginés d’un livre.
Les objets chinés, le canapé en cuir, l’imposant globe en bois et les portraits sur les murs… Je suis déjà embarquée dans une histoire et ça me plaît.
Pour préserver le suspens d’une future partie, Vincent ne me fait pas visiter les salles. Mais le soin donné aux objets dans les couloirs laisse augurer des missions aux mille détails.
Kurioscape, c’est… Le projet d’un homme
Vincent a déjà eu plusieurs vies avant Kurioscape.
Il a tout connu, l’entrepreneuriat et le salariat. Il connaît les deux côtés de la barrière. Dans son passé professionnel, Vincent a eu une entreprise d’informatique. Puis il en a créé une deuxième dans la communication et la fibre optique. Il était un concurrent local de Free, Orange et SFR. Cette boîte, il l’a vendue en 2012. C’est là que pour la première fois, il est passé de « l’autre côté ».
Pour son repreneur d’abord. Cela a duré deux ans. Puis il a définitivement quitté le navire. Il reste dans la téléphonie et rentre chez une filiale de SFR. Il gère une équipe qui vend des services Telecom à des professionnels. Cela lui plaît. Il le dit lui-même, c’était le « Job de rêve » ! Et une restructuration de SFR s’est invitée. Le job de rêve se teinte de pertes de compétences, la saveur n’est plus la même. Un plan de départ, les calculs sont faits et c’est le retour à l’entrepreneuriat.
Kurioscape, c’est… Le projet d’un indépendant
Vincent explore plusieurs idées. Il s’intéresse à plusieurs activités. Son instinct l’a rapidement conduit à se focaliser sur les escapes-games. Il a déjà joué quelques parties. Il a le sentiment qu’il y a « quelque chose à faire », que ce marché va se développer. Cet esprit de jeu collaboratif mettant en valeur les capacités différentes et complémentaires de chacun l’accroche.
Il se renseigne auprès de franchiseurs, étudie les conditions et se rend finalement compte que ce qui est proposé correspond en toute pièce à ce qu’il se représentait de son projet. Son caractère instinctif et indépendant lui montre la voie à suivre : il créera son escape-game lui-même.
Kurioscape, c’est… Le projet d’un curieux
Lecteur boulimique, Vincent dévore. Curieux compulsif, Vincent accumule les idées. Aussi, pour lui, créer des scénarii ne lui demande pas d’effort. Les histoires s’écrivent sans y penser. Ses sources d’imagination sont multiples. Et ses salles en sont le parfait reflet.
Enfin, pour être honnête, ses salles bénéficient de ses lectures passées. De toutes ces informations qu’il a emmagasinées durant des années. Car aujourd’hui, Vincent stocke. Vincent stocke les livres, fait des piles d’avance pour sa retraite. Passionné par son activité qui le lui rend bien, Vincent dévore moins qu’avant. Les livres pourtant font toujours partie de sa vie.
Kurioscape, c’est… Le projet d’un bricoleur
Si les missions naissent sans y penser, créer les salles est un autre sujet ! Si tout le monde est ébahi devant la qualité des scénarii, peu pensent à l’investissement matériel et physique que cela nécessite (moi la première !).
Car cela aussi, c’est l’œuvre de Vincent. Il a fallu planifier, casser, déblayer, remonter, chiner, poncer, peindre. Bref, il s’est retroussé les manches !
Comme sa communication d’ailleurs. Là aussi c’est du made in Vincent ! Du nom au logo en passant par le site, il a tout créé ! Pas par fierté, seulement guidé par sa curiosité.
Kurioscape, c’est maintenant… une équipe
Si Kurioscape est son bébé, Vincent peut compter sur ses « jeunes » pour l’accompagner. Car aujourd’hui, Kurioscape c’est 8 personnes autour de lui. Moyenne d’âge : moins de 30 ans. Leurs missions : la création d’escapes personnalisés, être maîtres du jeu.
Et Vincent les aime ses petits jeunes ! Ils sont tous en photo autour de lui à l’accueil. Ils sont eux aussi les piliers du bon déroulement des parties. Et ils aiment ce qu’ils font.
Parce que Kurioscape, ce n’est pas seulement 5 salles
C’est aussi, pour les entreprises : une salle mobile de 32 m² sur le thème de l’espionnage industriel, une offre d’escape personnalisé. Un team building ? Un objectif : la coopération des équipes autour d’une mission créée rien que pour vos salariés autour des valeurs de l’entreprise, du thème du séminaire
C’est aussi, et c’est tout neuf, pour les particuliers : « Urban Quest ». Une partie grandeur nature, dans la ville de Limoges. Plusieurs missions, plusieurs parcours, des smartphones, des points et la (re) découverte ludique de la cité limougeaude.
Kurioscape, c’est enfin… Le projet d’un « lucide »
Vincent est de ceux-là. Il sait que le local est important. Il le dit ainsi : « Je suis un local de fait ». Il sait aussi qu’il y a beaucoup de choses à faire. Il se dit qu’il n’en fait peut-être pas encore assez.
Alors quand Frédéric l’a contacté, il n’a pas hésité. Du fait de son activité, il n’a pas de concurrence délocalisable, mais il y a une carte à jouer. Une autre visibilité. Un soutien à apporter.
Alors amis et amies Quézaliens et Quézaliennes, quand allez-vous tenter l’aventure ?
Pour réserver, c'est par ici : JE RESERVE MON AVENTURE
Pour en savoir plus : Kurioscape